L’heure est maintenant au bilan après cette édition 2016, des Challenges d’Île-de-France sur le circuit de Satory (Yvelines).
Les plus :
•Les différentes catégories ont couronné des coureurs rapides au sprint, et qui ne passent pas trop mal les bosses.
•La grande majorité des coureurs qui ont crevé ou eu un incident mécanique ne sont jamais rentrés dans le peloton.
•On peut une nouvelle fois souligner la belle organisation de l’US Métro-Transports du président Rémy Turgis, soutenu par l’EC Armée-de-Terre et le Comité d’Île-de-France.
•Des coureurs professionnels comme Anthony Turgis ou des anciens pros à l’image de Dimitri Champion et Nadir Haddou sont venus assister aux épreuves.
•Le Parisis AC 95 devrait être un exemple pour tous les clubs de la région parisienne, qui se disent formateurs ou qui prétendent à ce statut-là.
•La bonhomie des speakers sur l’épreuve , Hervé Lemoine et Antoine Poncet, avec Dominique Lowe, le samedi.
Les moins :
•La course féminine des Challenges du CIF a-t-elle encore un avenir ? La question peut vraiment se poser lorsque l’on voit le peu de concurrentes chez les juniors seniors. La solution ne serait-elle pas tout simplement d’introduire l’épreuve féminine dans celle des départementaux voire les minimes cadettes avec les cadets ?
•Le sens tactique des équipes lors des Challenges du CIF en 2e et 3e catégories. Comment peut-on laisser partir un coup de 22 coureurs avec cinq d’une même équipe qui puis est la plus prolifique sur l’année 2016 ?
•L’individualité de certains coureurs, le CIF est une épreuve qui met en avant les valeurs de solidarité et de performance entre les coureurs d’une même équipe. Comment des dirigeants de clubs peuvent accepter l’individualisme sous toutes ses formes de certains de leurs sociétaires sur une telle épreuve ?