Michel Goupil est un personnage du cyclisme francilien ! Le coureur D4 et GS de l’EC Neuilly-Plaisance s’est déjà imposé cette saison le 25 mars du côté de Pussay. L’ancien pensionnaire d’Antony Berny Cycliste ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
« Beaucoup d’ambitions pour 2018 »
Radio Peloton : Michel, voici un bon mois que les compétitions ont repris…
Michel Goupil : Je comptais aborder 2018 à bloc en raison de mon futur départ en Bretagne le 10 juillet. Et puis un temps pourri comme pour tous et le décès de la maman de ma femme ont fait que je n’ai pas tant roulé que cela. Je n’ai d’ailleurs pas couru à Wissous.
Radio Peloton : C’est donc votre dernière année sur la région parisienne ?
Michel Goupil : Mon départ en Bretagne est programmé depuis 1986. Nous avions acheté une maison à retaper, bien avancée puis terminée depuis.
Radio Peloton : Vous allez vouloir terminer cette saison en Île-de-France sur une bonne note …
Michel Goupil : J’avais beaucoup d’ambitions pour 2018 avec même pourquoi pas des montées en D3 et Ufolep 3, vu que là-bas, les « 4 » existent mais sont toujours mélangés. L’année avait bien commencé avec une dixième place au régional Ufolep de cyclo-cross des plus de 50 ans à Dourdan et une individuelle d’entraînement gagnée sur piste à Saint-Quentin-en-Yvelines. Mais j’ai été battu au sprint à Fontainebleau par Forlot (AS Herblay).
Radio Peloton : Et puis vous avez fini par l’emporter à la fin mars …
Michel Goupil : Comme expliqué tout à l’heure, je n’ai pas couru à Wissous et les courses du 18 mars ont été annulées. Puis j’ai couru à Pussay. Je me suis senti à l’aise au point de passer la dernière bosse, et ensuite, tout m’était possible, et effectivement, je l’emportais devant Joël Offredo (AC Lardy).
Radio Peloton : Vous serez à Rungis ce dimanche …
Michel Goupil : C’est un de mes gros objectifs de la saison. Ensuite, je serais en principé présent sur les courses de Saint-Léger-en-Yvelines, Mespuits, Morangis et Nangis notamment, je vais également faire un peu de piste peut-être.