Christophe Carmel présente la particularité comme de plus en plus de coureurs, de courir en FFC avec l’AS Corbeil-Essonnes et la Grande Vigie en Ufolep. Le rouleur sprinteur de 34 ans a accepté de se confier à l’équipe de Radio Peloton.
« Sur la bonne voie »
Radio Peloton : Comment juges-tu ton début de saison ?
Christophe Carmel : Je pense être sur la bonne voie puisque depuis que je fais du vélo en France, c’est la première fois que j’entame une saison avec beaucoup d’ambition. Je démarre cette saison 2018 avec une touche positive dans la compétition.
Radio Peloton : Proportionnellement cours-tu plus en Ufolep qu’en FFC ?
Christophe Carmel :Pour cette année je pense courir plus en UFOLEP qu’en FFC.
Radio Peloton : Si oui, pourquoi privilégier plus une fédération qu’une autre ?
Christophe Carmel :Il est vrai que j’ai beaucoup plus d’affinités avec les coureurs en UFOLEP ,chose que je ne cache pas mais ce n’est pas pour autant que je délaisse les compétiteurs en FFC.
Radio Peloton : Que restes-tu ton plus beau souvenir de cette partie de saison ?
Christophe Carmel :Mes plus beaux souvenirs pour cette année ce sont les multiples victoires que le club de la Grande Vigie a obtenues en première catégorie et surtout mon premier titre au championnat de Paris qui est tout récent. D’ailleurs comme je l’ai dit précédemment, sans l’équipe j’aurai eu beaucoup de mal à l’obtenir.
Radio Peloton : Comment te sens-tu à la Grande Vigie ?
Christophe Carmel :Je pense avoir fait le bon choix en intégrant la grande famille de la Grande Vigie où je me sens très à l’aise et je me consacre pleinement à ma passion.
Radio Peloton : Quels sont tes objectifs en cette deuxième partie de saison ?
Christophe Carmel : L’objectif principal est de toujours briller parmi les cinq premiers au classement général et de faire parler du maillot.
Radio Peloton : Comment vois-tu l’avenir du vélo dans dix ans ?
Christophe Carmel :Je pense que dans les années à venir il sera de plus en plus compliqué à mettre en place des manifestations sportives sur les routes et même pour les coureurs de s’entraîner correctement. De ce fait je tire mon chapeau à tous les organisateurs qui sont présents à ce jour, parce que l’organisation d’une manifestation n’est pas forcément évidente.
Photo : Loïc Manceau.