Pensionnaire du Team 94 Cycling et du Pôle Espoirs de Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), Florian Hoarau s’est imposé cette année sur la course 3e catégorie du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine). Le Réunionnais pratique le cyclisme depuis maintenant trois saisons.
« Ca ira mieux pour cet été »
Radio Peloton : Comment te sens au Team 94 Cycling ?
Florian Hoarau : Je me sens bien dans la Team 94 parce qu’au final ce n’est pas que mon club ici mais un peu comme ma deuxième famille qui m’ont accueilli depuis mon arrivée en Métropole et je sais que je pourrais toujours compter sur eux.
Radio Peloton : En quoi penses-tu avoir progressé cette saison ?
Florian Hoarau : Tout d’abord j’ai progressé physiquement sur la route mais je pense surtout avoir progressé sur ma façon de courir sur la piste car à mon arrivée ici en métropole j’en pratiquais depuis peu et on m’a donc beaucoup appris sur le point tactique que comporte la piste.
Radio Peloton : Tu t’es imposé cette année notamment au Plessis-Robinson…
Florian Hoarau : Mon début de saison 2018 est mitigé, j’ai fait pas mal de places d’honneur, une belle deuxième place à le Route d’Éole Junior et deux victoires en 3ème catégorie et juniors mais j’ai eu pas beaucoup de malchance.J’espère donc que ça ira mieux pour cet été.
Radio Peloton : Tu es aussi pensionnaire du Pôle Espoirs de Châtenay-Malabry…
Florian Hoarau : Mon année là-bas s’est bien passée .Avec Stéphane Izoré, mon entraîneur, on a continué à travailler sur mes lacunes mais aussi mes qualités et au niveau scolaire tout est mis en œuvre pour qu’on réussisse donc une belle année au CREPS.
Radio Peloton : L’été s’annonce chargé pour ta part …
Florian Hoarau : Pour cet été mes ambitions sont de bien figurer à la coupe de France de la Trambouze fin Juillet et surtout d’aller chercher un titre au Championnat de France sur piste et pourquoi aussi un sur la route en Août, si je suis dans la sélection.
Radio Peloton : Quel serait ton plus grand rêve dans le vélo ?
Florian Hoarau : Mon plus grand rêve dans le vélo serait bien évidemment de passer pro mais le chemin est encore long avant de peut-être y parvenir.
Photo : Loïc Manceau.