Le Vélodrome National de Saint-Quentin en Yvelines organise une épreuve promotionnelle conviviale.
« Les 6 heures SQY »
Samedi 2 févier 2019 13h00 – 19h00.
Coureurs et nombre d’équipes :
L’épreuve est ouverte aux coureurs de 18 ans et plus, licenciés FFC et/ou abonnés du
vélodrome.
L’épreuve est ouverte à 24 équipes. Conformément à la règlementation en vigueur.
24 coureurs au maximum seront en piste en même temps. Les coureurs d’une même
équipe devront porter des maillots identiques.
Les équipes :
Chaque équipe sera composée de 3 ou 4 concurrents (es), au choix, d’un même club
ou non. Le classement final sera établi sur la plus grande distance parcourue à l’issue
des 6h. Toutes les heures, un classement intermédiaire sera établi et affiché sur le
tableau électronique.
Les premières équipes (Scratch et catégorise annexes) seront récompensées. Retrait des dossards :
Les dossards seront à retirer dans l’aire centrale entre 12h00 et 12h30.
Un transpondeur sera remis à chaque équipe avec les dossards.
Le briefing des équipes aura lieu à 12h40. Le départ sera donné à 13h00.
Les 6 heures SQY
Présentation (suite)
Chronométrage :
Un système de chronométrage par transpondeur sera utilisé.
Passage des relais :
Le départ réel sera donné après 5 tours neutralisés ; Les relais sont libres. En aucun
cas ils ne peuvent s’effectuer sur la piste. Pour chaque transition, le (la) concurrent (e)
en piste doit descendre sur l‘aire centrale pour passer le relais à son équipier (ère)
dans la zone prévue à cet effet.
Un parcours balisé pour la sortie et la remontée en piste est mis en place et devra être
emprunté.
Dans la zone de relais, la vitesse des coureurs est réduite. La transmission du
transpondeur s’effectue obligatoirement pied à terre.
Régularité de l’épreuve :
Toute équipe ne respectant pas le dispositif de passage de relais sera pénalisée de
10 tours. Le bon déroulement de l’épreuve sera contrôlé par le chef de piste désigné
par le vélodrome. Cette épreuve s’adresse aux cyclistes confirmés ayant déjà roulé
sur une piste type Vélodrome National SQY. La configuration de la piste du vélodrome
national exige le respect absolu des consignes de sécurité du chef de piste. Les
coureurs sans puce ou/et sans dossard sont interdits sur la piste pendant l’épreuve.
Animation :
Des animations seront mises en place durant l’épreuve.
Une fois encore, Mathilde Gros est dans notre liste des 20 coureurs franciliens à suivre pour 2019 ! La jeune sociétaire de l’US Créteil s’est illustrée en 2018 en devevant championne d’Europe du keirin à Glasgow (Ecosse). A 19 ans, l’ancienne basketteuse est également championne de France élite en titre du keirin et la vitesse individuelle. En ce début d’année, elle a terminé deuxième de la vitesse par équipe sur la manche de coupe du Monde de Cambridge en compagnie de sa coéquipière cristolienne, Sandie Clair.
Le Team Peltrax-CS Dammarie-lès-Lys aura une nouvelle fois fière allure cette saison ! La formation du président Eric Arnaud a présenté ses effectifs pour 2019, hier à l’espace Nino Ferrer de Dammarie-lès-Lys. Pour l’occasion, la presse, les élus, partenaires et sympathisants étaient présents pour cette présentation animée par Hervé Lemoine et Antoine Poncet. Pour sa première année en DN1, la structure seine-et-marnaise misera sur quatorze coureurs dans son effectif 1ère catégorie avec notamment la présence de Bryan Alaphilippe (Team Pro Immo Nicolas Roux) et Alexis Dulin (Creuse Oxygène). En 2e catégorie, l’effectif s’apparente davantage à une « équipe 1ère catégorie bis » tant la majorité des coureurs le composant ont déjà évolué à l’échelon supérieur. La 3e catégorie sera majoritairement représentée par des jeunes coureurs qui pourront compter sur l’expérience de Sébastien Bousser et Grégory Ortiz pour progresser. Enfin, le collectif sera à l’honneur chez les départementaux encadré une nouvelle fois par Guy Seguin. José Gouère sera le manager général de la formation dammarienne.
RadioPeloton: Camille, comment en es tu venu au cyclisme ?
Camille Cochet: J’ai commencé le cyclisme il y a un peu moins de 3 ans pour compléter mes entrainements de roller, que je pratiquais à haut niveau. J’y ai finalement pris goût et j’ai arrêté le roller, que je n’arrivais plus à pratiquer au niveau que je souhaitais, pour me consacrer uniquement au vélo
RP: Qui t’entoure en course comme à l’entrainement ?
CC: C’est Yannick Robert, le DS de Troyes, qui s’occupe de moi depuis l’année dernière. J’ai également l’aide de Fred Nidercorne pour m’accompagner aux entrainements. En course Yannick est toujours présent et le reste du staff change en fonction du nombre de filles. Il y avait Erwan Lollierou qui nous a accompagnées sur plusieurs courses l’année dernière en tant que mécano et qui nous a bien fait rire !
RP: Parle nous de l’UNCA Troyes ?
CC: Quelle est l’ambiance ? Qu’est ce qui en fait un bon club à tes yeux ? L’UVCA Troyes m’a été recommandé pour son ambiance et en effet elle est super ! On s’entend toutes très bien, c’est surement pour ça qu’on est restées aussi nombreuses sur toutes les courses jusqu’en septembre, c’est vraiment un plaisir de partir ensemble tous les week end. Pendant les courses on s’entraide et on se soutient mentalement quand ça devient dur ! Ce qui est bien c’est qu’on laisse sa chance à toutes les filles.
RP: Quelle est ta préparation hivernale ?
CC: L’hiver c’est compliqué car je me blesse tout le temps, donc je n’ai pas une grosse charge d’entrainement, j’essaye de travailler le foncier. Je roule surtout le week-end, car en semaine le soir c’est compliqué, il fait nuit tôt et je ne croise pas grand monde au polygone de Vincennes. Je vais parfois à la piscine ou courir en semaine.
RP: Quels seront tes objectifs ?
CC: J’ai beaucoup progressé l’an dernier j’espère que ça va continuer. Je ne me fixe pas d’objectif précis pour des courses, car c’est très aléatoire entre les tactiques de course données ou les problèmes mécaniques. En coupe de France l’objectif est collectif, nous voulons faire mieux que l’an dernier (6eme) et rentrer dans le top 5.
Clémence Mariaccia fait partie des nouvelles recrues du COCF Courcouronnes ! A 26 ans, l’essonnienne va découvrir ses premières compétitions sur route au sein de la formation lauréate des Challenges du Comité d’Île-de-France l’an dernier sur le parcours de Sourdun (Seine-et-Marne).
« J’aime la compétition »
Radio Peloton : Clémence, vous avez pris votre première licence de cyclisme en compétition cette année…
Clémence Mariaccia : Cela fait maintenant trois ans que je suis licenciée dans un club de triathlon (US Palaiseau). J’y ai découvert ce sport et j’adore. J’ai également découvert le vélo de route, que je n’avais jamais pratiqué jusqu’alors, moi qui viens de la gymnastique artistique.
Radio Peloton : Qu’est ce qui vous a plu dans le cyclisme ?
Clémence Mariaccia : J’ai adoré le vélo dès les premières sorties et les sensations que la pratique procure. Après quelques courses, je me suis rendue compte que dès trois disciplines du triathlon, le vélo était celle pour laquelle j’avais les meilleures capacités, ce qui m’a donné envie de progresser. En septembre j’ai participé à ma première course de vélo route en tant que non licenciée à la pass cyclisme « course des Demois’elles » à Courcouronnes. J’ai vraiment accroché.
Radio Peloton : Qu’avez-vous découvert lors de cette première compétition ?
Clémence Mariaccia : C’est très différent du vélo sur un triathlon je dirais même que c’est pratiquement un sport différent! J’ai trouvé cela très « stratégique » et technique, plus que ce à quoi je m’attendais. Je me suis aussi rendue compte qu’il y avait du travail! (sourires). Cela m’a donné envie d’en savoir plus sur cette discipline. J’aime la compétition que je connais depuis toute petite cela me stimule.
Radio Peloton : Vous avez donc choisi de porter les couleurs du COCF Courcouronnes en 2019…
Clémence Mariaccia :J’avais déjà suivi les filles du COCF sur la dernière étape du tour en J-1 et c’est une amie, licenciée dans ce club, qui m’a parlé de la course Pass Cyclisme organisée par le COCF. J’habite assez loin de Courcouronnes alors je me suis d’abord renseignée dans les clubs autour de chez moi. Malheureusement aucun n’avait de « structure » adaptée pour me recevoir. On m’a gentiment proposé des solutions : m’entraîner avec les jeunes garçons, me faire des programmes adaptés, etc. J’ai senti que j’étais « la bienvenue » mais j’ai eu peur de me sentir un peu trop « isolée ». Courcouronnes a donc été la meilleure solution pour répondre à mes attentes! Pour le moment je ne suis pas déçue, même s’il y a du niveau…!
Radio Peloton : N’est ce pas difficile de jongler avec votre pratique du triathlon ?
Clémence Mariaccia :Les entraînements de triathlon sont assez libres et au départ je souhaitais m’inscrire dans un club de cyclisme afin de trouver un « cadre » et des conseils un peu plus personnalisés pour progresser. Je pense aussi que cela va m’apporter de la technique et plus de confiance sur le vélo.
Radio Peloton : Quelles sont vos références en triathlon ?
Clémence Mariaccia : Je suis pratiquement novice en triathlon alors côté références… Je fais surtout des triathlons S et quelques M. Je suis plus à l’aise sur les courtes distances et les efforts « intenses mais courts », merci la gymnastique. J’ai fais quelques années de natation synchronisée et de water-polo donc je suis à l’aise dans l’eau mais pas excellente. Comme je le disais c’est généralement en vélo que je me défends le mieux. En course à pied je traîne une blessure que je me suis enfin décidée à résorber depuis plusieurs mois, en cours donc…
Radio Peloton : Quelles sont vos attentes de la pratique cycliste ?
Clémence Mariaccia : J’attends de ma pratique du cyclisme de progresser d’une part, de découvrir cette discipline assez normée et technique plus en profondeur. Je me rends compte que c’est presque un sport d’équipe et cela me motive également beaucoup! C’est un sport individuel d’une certaine manière mais dans lequel vous ne pouvez rien faire sans votre équipe et parfois même sans vos concurrents… Je trouve cela très intéressant. Je pense que « le groupe » peut me faire progresser et puis c’est toujours plus motivant de s’entraîner à plusieurs! Je cherche également à me dépasser mais surtout à prendre du plaisir… j’adore la sensation de bien être que je ressens par moment sur le vélo. J’aime aussi le côté compétition, mais toujours dans la bonne humeur!
Radio Peloton : En quoi consiste votre intersaison hivernale ?
Clémence Mariaccia : Je fais pas mal de VTT car j’adore ça! C’est complètement différent du vélo de route mais je m’amuse vraiment, ça me donne envie de tester le cyclocross à l’avenir…!
Sinon j’essaye aussi de rouler en vélo de route malgré le froid, la pluie et le vent…et de mouliner, apparemment c’est ce qu’il faut faire en hiver (sourires). Je fais un peu de home-trainer mais je n’aime pas tellement ça…comme beaucoup, je pense.
Radio Peloton : Vous avez donc découvert les entraînements collectifs sur route…
Clémence Mariaccia : Ils me plaisent aussi beaucoup car ils sont très bien adaptés pour nous et permettent de progresser. J’essaye d’appliquer les conseils donnés dans mes sorties. Malheureusement comme c’est assez loin de chez moi je n’y vais pas tous les week-ends mais cela fait partie de mes résolutions 2019! Et bien sûr je complète avec la natation, un peu de renforcement et mes séances de kiné pour la course à pied. Côté alimentation je dirais que je m’adapte à la saison. (sourires).
Radio Peloton : Avec quels objectifs pour la saison à venir Clémence ?
Clémence Mariaccia : J’ai envie de découvrir la discipline et de voir si j’y trouve ma place. J’ai quelques appréhensions sur la distance des courses car je suis plus à l’aise sur des distances courtes : 30 à 50 kilomètres, mais je verrai bien! J’ai l’objectif de progresser et de me sentir réellement utile lors des courses, tout en prenant du plaisir, je trouve que c’est déjà un bel objectif .J’ai à minima cinq courses à faire durant la saison, à caler entre les triathlons.
Le Melun Cyclisme Organisation s’est réuni samedi dernier à l’occasion de sa présentation d’équipe à la concession Volvo de Melun (77), sponsor historique de la formation présidée par Philippe Chabot. Une grand partie de l’effectif 2019 avait fait le déplacement pour l’occasion avec notamment les nouvelles recrues Gregory Besson ( Le Mée Sports), Chlotide Duru (Saacy Jouarre Cyclisme), Didier Langlois (JS Ferte-Gaucher). Le club comptera toujours dans ses rangs des coureurs comme Jonathan Denis, Wilfried Nicolas ou encore Jean-Philippe Meret. Le MCO a de sérieux atouts pour s’illustrer sur tous les terrains. La nocturne de Melun sera organisée chez les départementaux le mercredi 5 juin.