A 26 ans, Jordan Grédoire est un pilier de l’équipe 3e catégorie du VCA du Bourget. Le protégé du président Jean-Marc Bengala vit avec passion son amour du cyclisme et de la petite-reine en général.
« Retourner cette année au TSB »
Radio Peloton : Si tu devais être une course francilienne, tu serais ?
Jordan Grédoire : Le M.I.N de Rungis sûrement, ou Aulnay-sous-Bois . Mes plus vieux souvenirs ce sont sur ces deux courses là que me restent les seuls souvenirs d’avoir vu mon père sur le vélo. C’est lui qui m’a transmis cette amour du cyclisme.
Radio Peloton : Quelle est ta course professionnelle préférée ?
Jordan Grédoire : Sans hésitation Milan-San Remo, mais j’aime en général beaucoup les classiques et les courses d’un jour qui sont beaucoup plus animées que les grands tours. MSR, c’est 300 kilomètres de course, 7h30 de vélo avec ce finale entre « la Cipressa » et « le Poggio », pour y être passé cet hiver en stage, c’est quand même très impressionnant, surtout la vitesse à laquelle les capis sont franchis.
Radio Peloton : Jusqu’à maintenant, que reste ton plus beau souvenir sur une course ?
Jordan Grédoire :Le Triangle Sud Berry, en soit il s’agit d’une course à étape mais quelle belles courses. J’y avais participé en 2017 avec Thibaud Nojac et j’ai pris beaucoup de plaisir sur les neuf jours de course, avec des organisateurs et des bénévoles vraiment formidables qui adorent ce qu’il font, cela fait vraiment plaisir à voir, toutes ces personnes qui vivent et qui font vivre le vélo à fond et avec passion. J’espère pouvoir retourner cette année au TSB.
Radio Peloton : Quel est le maillot de club francilien que tu trouves le plus esthétique ?
Jordan Grédoire :Je vais être un peu chauvin et choisir le nôtre celui du VCA du Bourget.
Radio Peloton : Si tu as le choix entre être champion d’Île-de-France et gagner à Drancy, tu choisis…
Jordan Grédoire : Ça peut paraître étrange mais il n’y a même pas besoin d’y réfléchir ce sera gagner Drancy. Depuis l’année dernière cette course rend hommage à un ami Mathieu Riebel, et aucune victoire ne pourrait être plus belle que celle-là.