Féricy (77), 1ère catégorie :
« C’est un parcours difficile. Il n’y a pas de grosses bosses, elles sont maxi de 800 mètres, pas de forts pourcentages, non plus. Mais avec l’enchaînement cela devient usant.Il faut toujours rester placer sans trop en faire car la course est longue. Les deux derniers tours sont décisifs. En général il fait chaud premier vrai coup de chaleur donc l’hydratation est importante. Un sprinter peu largement gagner une course comme ça. Les bosses sont plus pour sprinter puncheur. C’est un circuit qui est exigeant mais qui reste accessible à tous sur des routes propres et larges juste une partie de 500m après la ligne d’arrivée si tu es en forme tu es devant. Les spectateurs peuvent se mettre soit dans la bosse dans le bois où tout le monde ravitaille. On nous voit de loin et en général et on se fait la guerre sur le haut. Je dirais qu’il faut compter ses efforts à Féricy lorsque l’on est coureur, surtout bien s’alimenter et suivre les coups de plus de quatre coureurs en fonction de ses ambitions. C’est une belle organisation, bien sécurisée, le circuit est propre avec beaucoup de récompenses pour les coureurs. Il faut s’accrocher tout en faisant oublier le plus possible ».