Le peloton féminin fera une halte ce dimanche à Evry-Courcouronnes ! Sur ce parcours urbain de la préfecture essonnienne la course pourrait réserver des surprises surtout si les conditions climatiques s’en mêlent. Pas de relief en particulier, pas de vent sur ce tracé qui avait accueilli un championnat régional chez les dames par le passé.
L’US Mauloise a brillé sur tous les fronts en ce week-end de Pâques ! La structure a réussi la performance d’obtenir des podiums dans plus de sept départements différents !
*Enzo Rochette, deuxième à Hugon (Orne), en U-17.
*Fanny Cauchois, troisième à Bourges (Eure), chez les dames.
*Prix d’équipe en open 3 à Boutigny-sur-Option (Eure-et-Loir).
*Yohann Céré, deuxième en open 3 à Boutigny-sur-Opton (Eure-et-Loir).
*Denis Meunier, vainqueur chez les cadets Ufolep à Hédouville (Val d’Oise).
*Frédéric Rotger, vainqueur dans sa catégorie Ufolep à Méru(Oise).
*Picant/Soares vainqueur sur la course tandem de Germigny-L’Evêque (Seine-et-Marne).
*Prix d’équipe en FSGT à Orphin (Yvelines), en 4e catégorie.
*Jade Brodin première fille dans sa catégorie en école de vélo à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
Le peloton féminin s’est donné rendez-vous ce lundi du côté d’Adainville (Yvelines) pour la deuxième course dames en Île-de-France ! Sur cette organisation du VCESQY-Team Voussert présidé par Thierry Fabre, elles seront près de 50 à vouloir accrocher un bouquet sur ce parcours usant sous des conditions climatiques plus automnales que printanières.
Nassim Khan sera-t-il la révélation du Watt Cycling Club cette saison ? A 28 ans, le coureur porte depuis l’an passé les couleurs de la formation parisienne. « J’ai découvert le vélo en tant que coursier Parisien en 2016 et je pratique le cyclisme en compétition depuis septembre 2023. Avant de m’épiler les jambes, j’enfilais des rollers pour glisser sur des rails dans les skate parks et les rues, puis un peu plus tard, des mitaines de MMA pour échanger des droites pédagogiques au sein de la Snake Team à Épinay- sur -Seine » détaille le protégé de la présidente Annabelle Broust, habité par sa pratique du vélo. « J’aime tellement de choses dans ce sport tant aussi bien la sensation de légèreté sur un vélo de route, la volonté d’aller le plus vite possible en descente, en comprendre la mécanique et apprécier les lignes d’un beau cadre, rigoler avec les copains sur la sortie du dimanche. Monter sur un vélo ou en parler est quelque chose qui m’apaise et me passionne » confesse Nassim Khan pleinement épanoui dans sa formation du Watt Cycling Club. « J’ai débuté au Watt en 2023. Je cherchais un club pour m’essayer aux compétitions et j’y avais déjà pas mal de copains. Les valeurs me parlent, la structure est jeune donc tout est à faire, et parce que « la classe, c’est d’être chic dans sa manière de s’habiller » je me suis dit que j’aurais la classe sur les podiums avec un maillot qui en jette autant » sourit le jeune francilien. Satisfait de porter les couleurs d’un club de la capitale, Nassim Khan apprécie également l’ambiance qui règne dans la structure. « J’adore mes coéquipiers. Nous nous tirons vers le haut avec bienveillance et sourire, tout en se poussant à devenir de meilleures versions de nous, pas uniquement sur le vélo » affiche celui qui est monté sur la boite lors de l’ouverture à Fontainebleau. « Malheureusement une chute sur la course du MIN de Rungis a anéanti mes objectifs sur cette épreuve. A Montigny-le-Bretonneux, j’ai manqué d’expérience, mais le podium me paraissait jouable » détaille le parisien tout en reconnaissant qu’il doit encore prendre en maturité dans le peloton pour y prendre ses aises et savoir lire la course. Fan du coureur slovène Tadej Pogacar (UAE Team Emirates ), Nassim Khan espère de nouveau se mettre en évidence sportivement tout en n’oubliant pas le plaisir de retrouver ses coéquipiers. « Pour le reste de l’année, je veux finir de payer mon vélo, trouver plus de jeux de mots sur mon coéquipier « Louis Foyer », faire le « pestacle » sur les courses pour qu’on s’y ennuie moins, sur le vélo comme au bord de la route, et partager mon amour du vélo au plus grand nombre de personnes possible » développe le coureur A1 qui devrait de nouveau faire parler de lui sur les courses de région parisienne très prochainement.
Première course open dans le Val d’Oise cette saison ! Près de 70 coureurs seront présents sur cette organisation du Parisis AC 95 présidé par Pascal Noël. Sur ce parcours urbain, tous les scénarios sont envisageables. Les conditions climatiques pourraient également avoir un rôle à jouer.
*** : Marec (Paris Cycliste Olympique), Noël (Parisis AC 95), Roulot (CSM Clamart 92).
Le Team Allcycles-Madar a présenté ses effectifs pour la saison 2024 à Serris le 21 mars dernier ! Auréolée de nombreuses performances la saison dernière, la structure présidée par Fabien Rousselin tentera de poursuivre sur cette lancée. Pour cela, la formation seine-et-marnaise s’est renforcée avec l’arrivée de coureurs qui souhaitent franchir un cap à l’image de Cyril Penven et David Rémond. Avec une équipe access conséquente, le TAM espère bien se mettre en avant sur les courses départementales avec Sébastien Marion ou encore Fabrice Joudioux tandis que l’expérimenté Bernard Leboucq et le prometteur Romain Bertrand ont eux aussi rejoint l’équipe durant l’intersaison. Présent également dans les pelotons Ufolep, le Team Allcycles-Madar misera sur Ludivine Maunoir pour s’illustrer. L’ancienne sociétaire du CC Coulommiers a fait une razzia en cyclo-cross couronnée par une médaille d’argent dans sa catégorie lors du National de la discipline. Déjà organisateur d’une épreuve du côté de Barcy lors du dernier dimanche d’hiver 2024, la structure briarde sera aussi sur le pont au cours des prochaines semaines avec au programme le Tour Allcycles en Ufolep ou encore une grande journée de vélo à Villeneuve-Saint-Denis, le 19 mai. A noter que le Team Allcycles-Madar servira également de formation développement à l’équipe professionnelle algérienne du Team Madar. Une petite dizaine de coureurs algériens devrait rejoindre les rangs de l’équipe seine-et-marnaise en cours de saison.
Fille du coureur seine-et-marnais, Miguel Angel-Tapia Pardo, Ninon Tapia-Pardo pratique l’équitation à haut-niveau
Les journées sont rythmées dans la famille Tapia-Pardo en cette année 2024 ! Si le père Miguel prépare la prochaine Race Across France, compétition d’ultra cyclisme sur laquelle il retrouvera Victor Leblond et Romain Bona, la fille Ninon pratique de son côté l’équitation. La jeune seine-et-marnaise a validé sa qualification pour les cycles classiques des cinq ans, le plus haut-niveau pour les chevaux des cinq ans en France. « Ce sont des compétitions exigeantes pour les jeunes chevaux incluant des obstacles d’une hauteur de 1.5 mètres avec un nombre variable d’obstacles à sauter. La difficulté réside dans la combinaison de la hauteur des obstacles et des parcours complexes qui mettent à l’épreuve la capacité du cheval à répondre aux demandes du cavalier. Cette épreuve vise à évaluer la progression des chevaux de cinq ans et à préparer ceux qui peuvent évoluer vers des catégories supérieures. C’est un terrain exigeant qui contribue à forger les futurs talents équestres » détaille l’ancien pensionnaire du Team Bonnat 91 dont la fille pratique l’équitation depuis 2018 et avec son cheval, « Jolie-Dame » depuis septembre. « Elle s’entraîne avec le cheval trois à quatre fois par semaine. Caroline Dieudonné, sa coach, monte Jolie-Dame deux fois par semaine. Entre le vélo et l’équitation, le parallèle se dessine. La résilience est cruciale dans les deux sports » poursuit le coureur master. Engagée sur la finale des cycles classique 5 ans à Fontainebleau, Ninon Tapia-Pardo disputera donc cette compétition dans la plus haute catégorie, une fierté pour son père, Miguel. « En tant que parent, je suis très satisfait de voir ma fille s’épanouir dans ce monde équestre, un univers animal, beaucoup moins connecté que la vie réelle. À ce moment-là, on n’est pas connecté du tout, et cela revêt une grande importance pour nous, en restant ancré dans quelque chose d’humain » souligne le seine-et-marnais tout en précisant que sa fille dispute une grosse vingtaine de compétitions par an. « Elle sera sûrement la plus jeune cavalière pour ce championnat qui démarre pour nous en avril chez Bosst et qui se termine en zone à Fontainebleau pendant la grande semaine équestre. Son cheval est actuellement au Haras du Launay. J’ai pleinement confiance en elle pour qu’elle puisse réussir ce challenge tout en prenant un maximum de plaisir » affiche le patron de la société ME2N.
Jérôme Pruvost (La Pédale Fertoise) a pris la deuxième place en non-Ufolep du cyclo-cross de Ressons-le-Long (Aisne), le 15 octobre dernier.
Olivia Onesti (VC Fontainebleau-Avon-CAPF) a pris la trente-quatrième place chez les élites dames de la manche de coupe du monde de cyclo-cross à Benidorm (Espagne), le 21 janvier dernier.
Le seine-et-marnais Melvin Landerneau (Team Madinina Bikers) a pris la douzième place du classement final de la Ligue des Champions sur piste sprint, le 12 novembre dernier.
Hervé Loy (Team Peltrax-CSD) a remporté la course access de Rébréchien (Loiret), le 11 novembre dernier.
La course A1/A2 de Montigny-le-Bretonneux fera le plein ce dimanche avec près de 120 coureurs au départ ! Sur cette épreuve yvelinoise organisée par le VC Montigny-le-Bretonneux du président Daniel Gagne, tous les scénarios sont possibles sur ce parcours urbain, un poil usant sur sa partie finale. Voici nos coureurs à suivre sur cette compétition.
Martina Zagar défend les couleurs de l’AC Boulogne-Billancourt en FFC et l’AS Meudon en FSGT
L’AC Boulogne-Billancourt a une championne de France dans ses rangs cette saison ! Licenciée dans la formation altoséquanaise l’an passé, Martina Zagar a décidé de poursuivre l’aventure avec la structure ouest francilienne. « Avant je faisais que du vélo plaisir et quelques Grand Fondo. En 2023 je m’étais fixée comme objectif de me qualifier aux championnats du monde GF UCI et je roulais à Longchamps avec un groupe qui s’appelle Miracle Morning. Certains amis ont rejoint le club de Meudon en FSGT et m’ont motivée à les rejoindre » détaille la jeune femme de 43 ans avant de prendre également une licence au mythique club de l’ACBB. « Les courses me semblaient un bon moyen de progresser et d’avoir plus de chances de me qualifier aux mondiaux. Après ma qualification, j’avais besoin d’une licence FFC pour participer au mondial. Un ami m’a mise en contact avec le directeur sportif d’ACBB pour voir si je pouvais me licencier au club pour pouvoir partir au mondial de Glasgow » explique Martina Zagar tout en soulignant le plaisir que lui procure le cyclisme. « J ‘aime cet esprit de liberté tout entretenant la forme physique. J’apprécie également les magnifiques paysages et les personnes que j’ai pu découvrir grâce à ce sport ».
Avant de rejoindre le monde de la petite reine, l’altoséquanaise a pratiqué le ski de fond en compétition avec à la clef des sélections en équipe nationale de Croatie avant de faire un crochet par la case triathlon quelques années plus tard. « En 2014, je m’étais mise au triathlon alors que je n’avais jamais fait du vélo ou de la natation dans ma vie. J’avais depuis fait plusieurs half ironman et deux full ironman dont l’Embrunman et le Patagonman au Chili. J’ai fait ma dernière course de triathlon en décembre 2019 et depuis j’ai un peu abandonné la course à pied et la natation » détaille celle qui a remporté le titre de championne de France des 40-44 ans de la course en ligne aux Baux-Saint-Croix (Eure), en juillet dernier. « J’appréhendais la course car c’était ma première en FFC et je ne connaissais pas du tout le niveau des autres filles. Je ne me suis pas faite confiance mais malgré tout j’ai bien couru. De cette course je garde encore une cicatrice au genou après une chute à quatre kilomètres de l’arrivée » sourit la pétillante altoséquanaise également deuxième de ce rendez-vous national dans l’exercice chronométré. Satisfaite de son année 2023 marquée par une sixième place au mondial de Glasgow (Ecosse) dans sa catégorie, remplie de belles choses et auréolée d’une progression physique, Martina Zagar espère poursuivre sur la même dynamique cette saison. » Le début d’année n’est pas facile en région parisienne avec une méteo qui est très décourageante. Mais après deux courses effectuées je suis très satisfaite de ma forme actuelle. L’objectif est de défendre mon titre en FFC et de me qualifier encore une fois au championnat du monde » fixe la francilienne tout en rêvant un jour de se parer de la tunique arc-en-ciel.